J'ai lu, ou plutôt, j'ai écouté Une Maison De Poupée de Henrik Ibsen, qui est édité sous 154 pages.
Résumé :
Dans cette maison où la femme est et n'est qu'une poupée, les hommes sont des pantins, veules et pleutres. Sans doute Nora incarne-t-elle une sorte de moment auroral du féminisme, alors qu'être, c'est sortir, partir. Et Ibsen, grâce à ce chef-d'œuvre, accède au panthéon de la littérature mondiale. Mais si sa poupée se met, sinon à vivre, du moins à le vouloir, au point de bousculer au passage l'alibi de l'instinct maternel, c'est qu'autour d'elle les hommes se meurent. Ibsen exalte moins Nora qu'il n'accable le mari, l'avocat Helmer, ou Krogstad part qui le chantage arrive.
Mon avis :
Tout d'abord, j'ai beaucoup apprécié cette pièce, et je pense que si je l'avais lue et non écoutée, je l'aurais moins appréciée.
Ensuite, j'ai trouvé que pour un dramaturge du XIXème siècle, Henrik Ibsen a eu des idées très avancées pour son époque, bien sûr, cette pièce reste ancrée dans le cadre de son époque, mais signe le début du mouvement féminisme, dans l'édition papier que j'aie, il y a tout une partie qui explique le fonctionnement d'Ibsen et aussi qu'il est considéré comme précurseur de ce mouvement.
D'autre part, cette pièce s'écoute très rapidement et du long de ces trois actes les événements s'enchaînent avec bien sûr la manière d'écrire de l'époque.
Je lui attribue quatre étoiles, surtout par sa simplicité !!!!
